Aujourd’hui, c’est la journée mondiale de la lutte contre le sida.
La lutte contre le Sida, c’est une cause qui me tient à coeur. Et à laquelle je participe un peu, en donnant un peu d’argent à l’association AIDES. Alors je tenais à en parler un peu ici.
L’association AIDES s’occupe essentiellement de prévention et de réduction des risques, en finançant des campagnes d’information et des campagnes de dépistage, mais s’investit également dans le soutien aux personnes séropositives (groupes de parole, défense des droits des malades, mutuelles complémentaires…) et dans la lutte contre le Sida au niveau mondiale (formations, financement d’examens médicaux, aide aux malades…).
J’aime souvent leurs campagnes de prévention, plutôt cash.
Comme celle-ci :
Pour faire un don, c’est ici et pour savoir à quoi sert votre don, c’est là.
Et juste quelques liens que j’ai trouvé intéressant aujourd’hui.
J’aime bien cette campagne qui date de 2002 qui reprend les lieux connus de la capitale.
- un article de libération sur la vie quotidienne d’un séropositif, qui rappelle que cette maladie entraine encore une discrimination contre laquelle il faut lutter.
- une chronologie de l’épidémie proposée sur le site SIDACTION. (la prochaine édition du SIDACTION aura lieu en avril 2013).
- “Rien ne se fera sans nous”, le webreportage de médecin du monde sur la réduction des risques. Petit aperçu :
Il s’agit de prendre la santé dans sa globalité et de placer la personne au centre du soin. Par exemple, pour les personnes droguées ou prostituées, on ne cherche pas à changer leurs comportements s’ils ne le souhaitent pas, mais à faire en sorte de réduire les risques associés à ces comportements. Ainsi, la mission auprès des usagers de drogues (programme Erli) “assure des séances éducatives individuelles théoriques et pratiques au cours desquelles l’usager utilise le produit qu’il consomme habituellement”.
Bien entendu, ce n’est qu’une minuscule partie de ce qu’on peut lire aujourd’hui sur l’épidémie du sida et les moyens de la combattre.